Métal Intégral - Chronique / ASSASSIN

Underground us 80's heavy metal...again !

Vu le nombre et la fréquence des sorties « Ré édition » je vous propose dorénavant une formule très simplifiée de chronique afin de vous aider à prendre votre décision avant d’acheter.

STYLE DU GROUPE ET NATIONALITÉ :
SPEED HEAVY MÉTAL (Minneapolis / Minesotta USA)

DISCOGRAPHIE :
Metal Massacre – 1987 Démo K7 10 Titres
The Metal Knights – 2012 Stormspell CD 17 Titres

DESCRIPTION DU CONTENU :
La Démo K7 de 1987 et six de ces titres en autres versions en bonus, Seules 3 faces des vinyles sont gravées.

INSERT, LIVRET ET AUTRES CONTENU DU DISQUE =
Cette fois ci à part le double vinyle à pochette ouvrante qui possède sur l’intérieur la biographie et des photos en noir et blanc, cette édition Lost Realm « ne » contient qu’un poster (très sympa) et une grande photo promo à la « Old School ».

MON VERDICT QUALITÉ / PRIX =

Musicalement ASSASSIN est dans une sous-catégorie du premier ANTHRAX, mais en plus poussé dans le speed et moins basé sur des riffs tranchants, également AGENT STEEL.. Le chant tend vers les aigus. On est là dans un Speed Heavy Métal sans concession, qui nécessite plusieurs écoutes pour bien l’assimiler, nous sommes loin du riff/refrain. Ce qui est sûr c’est que le Heavy est là ! Il ne s’agit pas de Thrash, même si comme pour le premier ANTHRAX, la frontière n’est parfois pas loin. La production est bonne mais je ressens le côté « Démo K7 », si la production est pour vous un critère d’achat écoutez avant ! Réservé aux "Die Hard" de l’Underground 80’s.
La surprise vient des deux bonus qui n’apparaissent pas sur la pochette… Metal Trashing Mad repris de façon parfaite ! Le chant rappelle Guy SPERANZA de RIOT ! Et Unchained Angel de NASTY SAVAGE.

L'album complet : cliquez ici

COMMENTAIRES DES LECTEURS Vos commentaires, vos remarques, vos impressions sur la chronique et sur l'album Pour pouvoir écrire un commentaire, il faut être inscrit en tant que membre et s'être identifié (Gratuit) Devenir membre de METAL INTEGRAL
Personne n'a encore commenté cette chronique.