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Chronique
X OPUS - The epiphany

Style : Metal
Support :  CD - Année : 2011
Provenance du disque : Reçu du label
10titre(s) - 57minute(s)

Site(s) Internet : 
X OPUS WEBSITE
X OPUS MYSPACE 

Label(s) :
Magna Carta
 (15/20)

Auteur : Ben
Date de publication : 17/05/2011
Comme les rois mages...
The Epiphany est le premier album de X OPUS, projet du guitariste multi-instrumentiste américain James WILLIAMS. Hormis le chant, confié à Brian DIXON et David CROCKER, James WILLIAMS est donc l’auteur des 10 compositions, jouant et programmant basse, batterie et claviers. Cet album, dont la gestation a été plutôt longue, semble avoir été une thérapie pour son compositeur.
Les 10 titres de The Epiphany s’emploient à faire vivre un Métal symphonique, arborant une parure (Power) progressive qui rappelle sans contestation possible un des groupes phare du style : SYMPHONY X. Théâtral, classisant (The Epiphany (Opus Benedictus Interlude), Forsaken en son final Requiem Of The Forsaken), avec ses ambiances d’opéra et un air arabisant (I Will Fly), The Epiphany louvoie dans un clair-obscur, alternant élégances lumineuses et descentes ténébreuses. Terrified, On Top Of The World, Pharaons Of Lies et I’ll Find The Truth concentrent de belles mélodies, assurées par des refrains vite mémorisables. In The Heavens est la ballade mid tempo de l’album, sans vraiment grande saveur. Forsaken (Requiem Of The Forsaken), superbe titre au long cours (plus de 10 minutes) est à rapprocher d’un DREAM THEATER, toute proportion progressive gardée ! Angels Of War est le titre le plus violent, assénant un déluge de guitares et une batterie en furie, où le chant de David CROCKER semble être « écrasé » (volonté artistique ?). L’album se termine sur une note émotive, l’instrumental Never Forgotten, à la fois acoustique et électrique, laissant James WILLIAMS exprimer tout son talent de guitar-héro.
Les voix de Brian DIXON et David CROCKER sont relativement complémentaires et dans un même registre, évoquant James LABRIE, Tobias SAMMET, voire plus ponctuellement D.C. COOPER.
Certains passages et ambiances de guitares suscitent quelques inflexions homéopathiques vers MALMSTEEN ou IRON MAIDEN.
Sans vraiment être original, ce premier album, où la guitare tient une place prépondérante, s’écoute avec plaisir, laissant dans son sillage une belle performance technique sans jamais être rebutante.



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