Français  
Accueil    Association    Liens    Livre d'or    Contacts 
Login: Passe:
 
S'inscrire gratuitement
Votre panier est vide
0 article
Valider votre panier
Chronique
AMARTIA - In a quiet place

Style : Prog Heavy / Prog Metal / Prog Rock
Support :  CD promo - Année : 2011
Provenance du disque : Reçu du label
11titre(s) - 67minute(s)

Site(s) Internet : 
AMARTIA FACEBOOK
AMARTIA WEBSITE
AMARTIA SOUNDCLOUD

 (15/20)

Auteur : metalmp
Date de publication : 19/07/2011
Sobre et calme
Il est agréable, parfois, de se laisser emporter par la sobriété d’un album acoustique. AMARTIA s’adonne à cet exercice au juste moment. Entendez par là « hors période de Unplugged à la mode ». N’étant pas assailli de produits débranchés, l’auditeur se trouve, de fait, plus accessible à ce In A Quiet Place, quatrième album des Lillois.

Vincent VERCAIGNE n’a jamais caché être admiratif du travail de Mike OLDFIELD ou de PINK FLOYD. Sa musique s’en ressent, marquée par des sonorités aériennes souvent envoûtantes. Incontestablement progressif dans l’âme, AMARTIA, son groupe, a l’intelligence de varier les plaisirs et de montrer l’étendue de ses influences, en alliant le plus simplement du monde le Blues, le Jazz ou le Gospel. En cela, Magical Harmony est un parfait exemple de cette ouverture d’esprit et de la palette d’influences musicales d’AMARTIA, tout comme cette reprise libre, au fort accent celtique, mais totalement respectueuse de Blood Brothers qu’IRON MAIDEN proposait sur Brave New World en 2000. Deux visions d'une même chanson qui se trouvent nombre de points communs.

La voix de Britta HERZOG est cassée, sensible à souhait, parfois torturée, s’imposant dans des moments de presque grâce que sont Ignorance ou Delicately. Mais ce type de voix, haute et sensible devient rapidement lassant, répétitif sans être monocorde. Si la chanteuse est sans aucun doute celle qui profite le plus de l'ambiance souvent feutrée de cet album, sa voix est parfois, au contraire, inquiétante comme l’approche d’une forêt sombre par une nuit sans lune, l’ensemble mériterait d’un chant plus varié.

Je me posais, à l’écoute de Marionette, second album d’AMARTIA, la question suivante : peut-on vraiment associer ce groupe à la famille Hard Rock ? Progressif, oui, mais Hard, j’en doute… Je continue de me poser cette question avec In A Quiet Place. D'autres groupes se sont lancés dans l'exercice acoustique tout en conservant totalement l'esprit Rock ou Hard. Ce qui n’ôte absolument rien au plaisir de l’écoute d’une telle œuvre, riche et complète, malgré les quelques difficultés que je peux rencontrer.
COMMENTAIRES DES LECTEURS Vos commentaires, vos remarques, vos impressions sur la chronique et sur l'album
Pour pouvoir écrire un commentaire, il faut être inscrit en tant que membre et s'être identifié (Gratuit) Devenir membre de METAL INTEGRAL
Personne n'a encore commenté cette chronique.
 Actions possibles sur la chronique
Enregistrer la chronique au format .PDF
Afficher la version imprimable de la chronique
Envoyer la chronique par email
Ecrire un commentaire
Poser une question sur la chronique
Signaler une erreur
Chroniques du même style
FLYING COLORS
Live in europe
SEVENTH WONDER
Tiara
FROST
Milliotown
DARK QUARTERER
War tears
HYPNOTIC FLOOR
Odd conjectures
Chroniques du même auteur
GRORR
Anthill
ZOUILLE & HANTSON
Zouille & hantson
IRON MAIDEN
The final frontier
SCORPIONS
Lovedrive
HEADCHARGER
Black diamond snake
© www.metal-integral.com v2.5 / Planète Music Association (loi 1901) /