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19/09/2015
Wolflight
STEVE HACKETT
 
L’écoute d’un nouveau disque de Steve HACKETT est toujours un grand moment d’émotions, d’autant plus qu’il s’agit-là de nouveaux morceaux. La période Genesis Revisited de ces dernières années fut très réussie, tant les albums studios que les versions live (j’ai vraiment un faible pour le Live At Hammersmith de 2013 : cliquez ici). Steve HACKETT était vraiment le pilier de Genesis durant la période où il y officiait.
On n’achète pas ce nouvel album pour sa pochette, kitsch à souhait, d’ailleurs ça n’a jamais était le point fort de l’artiste. L’essentiel étant la musique et le talent incontestable de guitariste de Steve HACKETT. Wolflight nous plonge dans un univers sonore féérique, des morceaux aux changements de tempos qui mélangent tout un tas d’influences musicales : Classique, Rock, Folk, Oriental, Blues… La guitare (classique ou électrique) est toujours très présente et c’est tant mieux. Cet album est un vrai délice ! Chaque écoute amenant un maximum de plaisir. Que du bonheur ! A écouter les yeux fermés, les images et les sensations viennent d’elles mêmes dans votre tête.
Un ensemble de bons morceaux, il n’est pas nécessaire de les décortiquer un à un, tout est bon, Steve HACKETT qui chante sur tous les morceaux s’en sort honorablement, Love Song To A Vampire (cliquez ici) en est la preuve (sur ce morceau le regretté Chris SQUIRE est à la basse).
Cet album est certainement l’un des meilleurs de Steve HACKETT, on n’y trouvera pas de morceau mythique comme Spectral Mornings (1979) mais l’ensemble est homogène et le talent de l’artiste toujours intact. A noter également pour les nostalgiques de Spectral Mornings la version 2015, chanson caritative pour la maladie de Parkinson, interprétée par Rob REED et Christina BOOTH du groupe MAGENTA et David LONGDON de BIG BIG TRAIN (Steve HACKETT y participant également) (cliquez ici).
clemthi
Date de publication : samedi 19 septembre 2015