Français
Accueil
Association
Liens
Livre d'or
Contacts
Login:
Passe:
S'inscrire gratuitement
Votre panier est vide
0 article
Valider votre panier
Chroniques
Futures Stars
Galeries Photos
Dossiers
STATUS QUO - The Frantic Four Live - Palais des Sports de Paris, le 26 mars2014
(
STATUS QUO
,
DEADCATS
)
Date de prise de vue
: 26/03/2014
Lieu
: Paris, Palais des sports
Photographe
: Marc-Patrick "metalmp" GATLING
Date de publication
: 02/04/2014
Catégorie
:
Concert
Actions possibles sur la galerie
Ecrire un commentaire
Galeries du même type
Concert de SILT
ACCEPT live à Paris (Bataclan, le 6 avril 2012) avec HELL
HELLFEST 2014
HEAVY N MELODIC NIGHT au LYON'S HALL (HEAVYLUTION, ICE SCREAM, NAOS, AUSPEX)
SWEET ARDENT NIGHT AU LYON'S HALL
Francis ROSSI
,
Rick PARFITT
,
Alan LANCASTER
et
John COGHLAN
sont, pour certains, la représentation du
STATUS QUO
de la meilleure époque. Ceux que l'on surnomme désormais, et je ne sais ni d'où ça vient ni de quand ça date (mais bon, depuis le
Big 4
, on trouve des surnoms un peu partout) le
Frantic Four
méritent bien ce sobriquet tant leurs prestations d'antant étaient explosives. Cette "réunion" des anciens promet en tout cas une chose: ne pas avoir à subir le plus gros hit, en tout cas le plus populaire du
QUO
, le titre qui leur a permis de revenir très en forme il y a bientôt 30 ans... Lequel? Cette infamie dégoulinante de guimauve réchauffée qui parvient tout de même à faire se dandiner les foules... Je vous laisse deviner ! Non, ce soir, la promesse c'est du lourd, du rock, du
boogie
comme nos quatre savent si bien en faire.
Le public est sagement assis - dans des fauteuils rembourés et très confortables - dans ce
Palais des Sports
déjà très correctement rempli. Etonamment, il n'y a pas de barrière de sécurité mais qu'importe, le public semble vouloir rester assis.
Les
DEADCATS
ouvrent le bal à 20h sur une scène sobre, uniquement ornée d'un backdrop imageant le
STATUS QUO
de
Hello
. Le groupe puise son inspiration dans les mélodies d'un soft rock contemporain teintées d'un esprit emprunté à
The CLASH
,
The PRETENDERS
parmis les plus anciens. Le quatuor bayonnais séduit sans que pour autant le public ne se décide à bouger... Les applaudissements sont toutefois nourris lorsque les
DEADCATS
quittent la scène après une bonne demi heure d'une prestation concentrée et appliquée.
A peine les lumières se rallument-elles qu'une partie du public s'entasse devant la scène. La sécurité ne l'avais pas vu venir, et se voit dans l'obligation de renvoyer chacun à sa place le temps que la scène soit préparée. Etrange pour un concert de rock... Les photographes, eux, ont pour consigne de se positionner d'un côté ou de l'autre de la scène sans gêner le public... La question est posée aux agents de sécu de savoir comment ils vont réussir à contenir ce public (même s'il est principalement composé de quadras et quinquas venus avec enfants) une fois les lumières éteintes... La réponse arrive dès 21h, lorsque les fans se lèvent et se voient limités dans la "fosse" à former un demi cercle quelque peu surprenant, ce qui, rapidement, ne semble guère satisfaire
Francis ROSSI
. Enfin, après deux titres une main se lève autorisant le public à se rapprocher et l'ambiance devient enfin digne d'un concert de rock!
Si
ROSSI
et
PARFITT
semblent, comme toujours, en pleine forme,
Alan LANCASTER
, revenu d'Australie à l'occasion de cette reformation, a de plus en plus de difficultés à se déplacer. N'empêche, le bassiste est en voix, une voix chaleureuse qui transpire le chant blues des 60's. Et si ses mouvements restent limités - il semble rapidement inenvisageable d'assister aux typiques mélanges de jambes auxquels se livraient il y a plus de trente ans les trois asticoteurs de manches... - la complicité est intacte.
John COGHLAN
, quant à lui, consient de sa tâche de charpentier du rythme, reste parfaitement concentré, et a du mal à se dérider, même si
Francis ROSSI
vient le titiller de temps à autres. L'alchimie entre les quatre est néanmoins présente et le
STATUS QUO
première version démontre sans diffculté aucune n'avoir nullement besoin de décors de scène ni d'écrans pour être efficace. Des lights simples (trois triangles multicolores et quelques rangées de spots blancs), de la bonne musique et des musiciens qui se donnent suffisent à mettre le feu.
Francis ROSSI
, comme toujours, communique très facilement avec le public. Toujours avec humour, il pésente la soirée, dont la
setlist
est principalement basée sur l'album live que
STATUS QUO
a "enregistré en 19.. 1905 je crois...", (
Quo Live
, en enregistré à Glasgow en 1976, paru en 1977) rajoutant qu'il est de toute façon, "
le plus jeune ce soir. Sur scène !
" La soirée sera ponctuée de ces touches confirmant la proximité que le groupe cherche à avoir avec son public.
Si les cheuveux sont blanchis, et si les rides ont trouvé leur place,
STATUS QUO
, en 2014, continue de jouer et sait toujours mettre l'ambiance. Pendant 1h28, en tout cas... Car, oui, c'est le seul point de déception, le show n'aura duré qu'à peine une heure trente. Pour le reste,
STATUS QUO
reste un grand groupe à la simplicité remarquable et l'efficacité indéniable. Prochaine étape: le
Hellfest
, le 21 juin prochain (avec rien moins que
DEEP PURPLE
et
AEROSMITH
!). Rendez-vous à
Clisson
?
Setlist
STATUS QUO
:
Junior's Wailing
(
STEAMHAMMER
),
Backwater
,
Just Take Me
,
Is There A Better Way
,
In My Chair
,
Blue Eyed Lady
,
Little Lady
,
Most Of The Time
,
Rain
,
(April) Spring Summer and Wednesdays
,
Railroad
,
Oh Baby
,
Forty-Five Hundred Times
,
Gotta Go Home
,
Big Fat Mama
,
Down Down
,
Roadhouse Blues
(
The DOORS
). Rappel:
Caroline
,
Bye Bye Johnny
(
Chuck BERRY
)
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
DEADCATS
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
STATUS QUO
COMMENTAIRES DES LECTEURS
Vos commentaires, vos remarques, vos impressions sur la galerie
Pour pouvoir écrire un commentaire, il faut être inscrit en tant que membre et s'être identifié
(Gratuit) Devenir membre de METAL INTEGRAL
Ben
Le mercredi 2 avril 2014
Ville : Chambéry
Et comme d'habitude.... Respects !!! Magnifiques prises de vues !!!
© www.metal-integral.com v2.5 / Planète Music Association (loi 1901) /
Mesure d'audience ROI statistique webanalytics par