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Chronique
ATLANTYCA - To nowhere and beyond

Style : Prog Heavy / Prog Metal / Prog Rock
Support :  CD promo - Année : 2012
Provenance du disque : Reçu du label
9titre(s) - 65minute(s)

 (16/20)

Auteur : metalmp
Date de publication : 26/08/2012
L'espoir français du progressif ?
La France tient-elle enfin avec ATLANTYCA son plus important espoir en matière de Rock / Metal Progressif ? C'est, à l'écoute de ce To Nowhere And Beyond, une possibilité à ne pas négliger.

Formé à Lyon par les frères PUTIGNY - Julien (guitares) et Maxime (Basse) - et le batteur Laurent FALSO en 2008, le trio peaufine son répertoire afin de trouver le son, le style qui lui soit propre. Car le Prog est un genre exigeant et les meilleurs sont d'incontournables références. Mais ATLANTYCA semble vouloir à tout prix éviter les comparaisons par trop faciles ou évidentes.

Français, ATLANTYCA commence par éviter le piège du chant anglais avec un accent si prononcé que sa carrière à l'international ne pourrait décoller du stade de fantasme. Pour éviter cet écueil, le trio fait appel à de véritables pointures du genre. On notera ainsi la collaboration (car il s'agit de cela bien plus que d'une simple participation) de Andy KUNTZ (VANDEN PLAS), Edu FALASHI (ANGRA),Paul SHORTINO (KING KOBRA, QUIET RIOT) et de David STEELE qui jouent différents rôles dans le déroulement de cet album. Ce qui me rebute le plus habituellement (l'accent souvent inexistant et / ou approximatif des vocalistes de chez nous) constitue donc ici une étape franchie haut la main.

Musicalement, si dès l'instrumental introductif Impulse on reconnait l'influence de RUSH ou DREAM THEATER, ATLANTYCA fait monter son propos en puissance de telle sorte que l'auditeur se trouve embarqué dans cette aventure sonore aux tempi variés qui vont du Rock de Standard Man un envoûtement grâce au chant de Michelle sur Time After Time et le final irréprochable de Underworlds sur lequel se mélangent les voix de différents intervenants. Seule la balade Eternity m'ennuie... Le reste m'emporte petit à petit.

Car l'animal semble bridé, en tout cas jusqu'à Cevilisation, l'avant dernier titre. Julien PUTIGNY et ses compagnons semblent retenir leur entrain, ne pas totalement oser foncer. La puissance de l'album pourrait être tout autre, alors que l'ensemble est déjà fort prometteur. Si les gaillards décident de se lâcher sur scène, ça va faire très mal. To Nowhere And Beyond (rémanence de l'enfance ce clin d'oeil à Buzz l'éclair ???) joué live est un autre défi : comment réunir tout ce beau monde pour reconstituer cette aventure ?

Reste que cet album est un bel essai qui ne demande qu'à être transformé. Lâchez-vous les gars !
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