Français  
Accueil    Association    Liens    Livre d'or    Contacts 
Login: Passe:
 
S'inscrire gratuitement
Votre panier est vide
0 article
Valider votre panier
Chronique
LAST PREY - Another way

Style : Metal
Support :  CD - Année : 2012
Provenance du disque : Reçu du groupe
6titre(s) - 25minute(s)

Site(s) Internet : 
LAST PREY REVERBNATION
LAST PREY FACEBOOK
LAST PREY MYSPACE 
LAST PREY WEBSITE

Label(s) :
Auto Production
 (17/20)

Auteur : Chouman
Date de publication : 29/12/2012
« if we can’t choose, we’d rather die »
Paru en octobre 2012, Another Way constitue le deuxième enregistrement de LAST PREY, pour lequel le quintette lillois a de nouveau opté pour le format EP. Ce choix peut paraître surprenant, puisque plus de trois ans se sont écoulés depuis Last Prey (avril 2009). Un tel intervalle, que les groupes mettent généralement à profit pour délivrer un LP, s’explique par le changement de line-up intervenu en 2011. L’arrivée de Jerem, remplaçant le chanteur originel MaxXx parti l’année précédente, a permis le retour sur scène de LAST PREY, prélude à l’album proposé aujourd’hui.

Dès les premières secondes de Ghost Rehab, Another Way révèle d’évidentes influences Neo Metal. Les murmures de Jerem, sans doute inspirés par un certain Jonathan DAVIS (KORN), le démontrent de façon magistrale, tout autant que les hurlements entendus sur The Evening Girl. Les morceaux sont fréquemment dominés par la section rythmique, en particulier la basse, et proposent de lourds riffs pouvant également rappeler la mouvance Hardcore (Drowning). De manière générale, il convient de saluer le soin apporté à la production de l’EP.

Toutefois, LAST PREY se distingue des acteurs essentiels du genre. Tout d’abord, les parties lead, dues à Sam, se détachent nettement de l’ensemble, qu’il s’agisse de Ghost Rehab (intro) ou de Another Way (couplets). Ensuite, une guitare en son clair apparaît sur Drowning, créant un climat mélancolique propice à l’interprétation légèrement teintée de Grunge de Jerem. Par ailleurs, les thèmes explorés dans le morceau nous ramènent à ce courant, les vers « This downward spiral / Is never gonna stop » faisant allusion à la dépression. Comme en témoigne le morceau-titre, les musiciens rejettent l’idée que l’homme serait déterminé par un quelconque destin. Leur thèse y est résumée par : « If we can’t choose, we’d rather die », véritable maxime de ce six-titres qui devrait satisfaire les fans de Nu Metal.

Line-up :

Jerem : chant, chœurs
Sam : guitare solo
Tony : guitare rythmique
Remy : basse
MJ : batterie
COMMENTAIRES DES LECTEURS Vos commentaires, vos remarques, vos impressions sur la chronique et sur l'album
Pour pouvoir écrire un commentaire, il faut être inscrit en tant que membre et s'être identifié (Gratuit) Devenir membre de METAL INTEGRAL
Personne n'a encore commenté cette chronique.
 Actions possibles sur la chronique
Enregistrer la chronique au format .PDF
Afficher la version imprimable de la chronique
Envoyer la chronique par email
Ecrire un commentaire
Poser une question sur la chronique
Signaler une erreur
Chroniques du même style
ALLURE OF STELLAR
Azimuths
ALTERNINE
2.0
ELTHARIA
Innocent
BURNING POINT
The blaze
STABWOUND
Iii - ritual
Chroniques du même auteur
A PALE HORSE NAMED DEATH
Lay my soul to waste
ZAVOD
Industrial city
HUGGER FACE
Morse of beyrouth
CLOSURE
The silent witness march
RAFER
The black hole day
© www.metal-integral.com v2.5 / Planète Music Association (loi 1901) /