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NOCTURNALIA
- Above below within
Style
:
Hard Rock
Support
: MP3 -
Année
: 2015
Provenance du disque
: Reçu du label
7titre(s) - 37minute(s)
Site(s) Internet
:
NOCTURNALIA FACEBOOK
Label(s)
:
Gaphals
(16/20)
Auteur :
Alain
Date de publication
: 25/04/2015
Hard psyché
Après deux
singles
et un album sans titre paru en 2013 sous l'appellation
NOCTURNAL
, ce quintette suédois rebaptisé
NOCTURNALIA
délivre un
Above Below Within
qui fait office de manifeste de
Hard Rock
psychédélique, donc fortement imprégné par la fin des années 60 et le début de la décennie 70.
Après une belle introduction instrumentale au piano (
Vandringen
),
NOCTURNALIA
se lâche avec
Within His Lies
, un
Hard Rock
sauvage et épique comme on n'en fait plus depuis longtemps :
tempo
appuyé par une batterie pétaradante, gros
riffs
pleins de réverbération, voix hantée oscillant entre registre médium et poussées raisonnablement aigües. Sur
The Watchman
, les guitares se font plus tranchantes, les
solos
gavés d'un
feeling
bluesy
juteux, le chant plus lointain, renforcé par des harmonies vocales. A ce stade, on a compris que c'est tout l'héritage du
Hard Rock
ligne claire qui est convoqué : celui des trois premiers albums de
BLUE ÖYSTER CULT
, des
AMBOY DUKES
(premier groupe de
Ted NUGENT
), des débuts de
UFO
(pour l'élégance des guitares et des mélodies). Certains
boogies
tendus évoquent également ceux que pouvait proposer
THIN LIZZY
, sans les parties de guitares jumelles toutefois (
The Stone
, l'introduction de
Sing To Sleep My Soul
). La nervosité des
riffs
et des
solos
, la tension de la section rythmique sait se moduler au profit de passages plus posés, traversés par des sonorités troubles propres et acides à l'univers psychédélique. Cet art consommé du contraste s'exerce dans un souci de complémentarité des éléments en présence, avec pour résultat une architecture sonore qui joue sur l'espace, permettant à chaque instrument de respirer. On est ici à des années lumière des productions cliniques et ultra-compressées.
Mention spéciale au titre de clôture,
Towards The End
. Excédant les sept minutes, il s'agit d'une ballade acoustique délicate et un peu désabusée qui conserve un aspect aérien, même quand la batterie et la guitare électrique entrent subtilement en scène (
solo
de guitare laconique mais beau). Le final au piano semble faire écho à l'introduction de l'album. La boucle est donc bouclée et de fort belle manière.
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